

«Ce spectacle a pour première ambition de raconter aux jeunes gens d’aujourd’hui comment leurs parents (ou grands-parents…) ont passé le bac en cette année emblématique. Péripétie qui, comme on le sait, ne fut pas piquée des vers…»- Il a comme intérêt ensuite de faire revivre par Claudine, la mère, et Ferdinand, le fils, la montée et l’arrivée au sein d’une banale famille française de ces événements historiques qui ont bouleversé la société occidentale. Les choses n’ont plus jamais été après ce qu’elles étaient avant». - Philippe Caubère
34 ans après La Danse du diable, Philippe Caubère endosse une nouvelle fois le costume de son alter ego, Ferdinand Faure. Le Bac 68 est l’adaptation d'un épisode de L’Homme qui danse, «histoire dans l’histoire, digression dans le récit ou parenthèse enchantée», pendant lequel Ferdinand passe son bachot, rêve du Grand soir et affirme sa vocation théâtrale.
Revenant sur cette époque qui marque sa découverte de la politique, Caubère fait revivre un mois de mai où l'on a rêvé l'impossible. Il continue à surprendre et à émerveiller, sans oublier de faire rire, à travers une galerie de personnages inoubliables.
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Du même auteur
Premier tome du Roman d'un acteur de Philippe Caubère.