Je suis ton père (suivi de) Je suis ta mère

Je suis ton père ! (2 femmes – 2 hommes)
Normalement, lorsqu’un beau-père, sale comme un peigne, puant le bouc et massacrant tout ce qu’il touche, débarque par surprise et s’incruste dans la vie d’un jeune couple, les projets de mariage font long feu et l’histoire d’amour vacille. Normalement peut-être, mais dans cette comédie rien ni personne n’est normal, alors…

Je suis ta mère ! (4 femmes – 2 hommes)
Apolline Brieux de Hautebielle veut à tout prix retrouver sa mère biologique qu’elle n’a jamais connue et que sa famille lui a cachée jusqu’à présent. Le jour où celle-ci débarque enfin au château sera-t-il le plus beau ou le pire jour de sa vie ? Elle ne le saura qu’après moult rebondissements et pas avant que le public n’ait ri aux larmes des déboires de son si faible père et de sa si rigide grand-mère.
Jusqu’où peut-on aller par amour pour ses enfants ? Certainement plus loin qu’on peut l’imaginer, tout dépend tellement des circonstances et des aléas de la vie. Voici deux modestes exemples qui n’ont d’autre but que de faire rire, amuser et peut-être émouvoir le spectateur.

Ces deux comédies d’une quarantaine de minutes chacune, basées sur la découverte impromptue de parents pour le moins improbables, sont totalement indépendantes l’une de l’autre mais sont cependant conçues pour pouvoir être jouées à la suite. En effet, si l’intrigue, les personnages et les lieux sont différents, le décor est exactement le même aux éléments de décoration près (tableaux, meubles, tentures…).
En montant les deux pièces dans un même spectacle, les distributions de 2H-2F pour l’une et 2H-4F pour l’autre permettent de moduler le nombre de comédiens et comédiennes selon que certains et/ou certaines jouent ou pas dans les deux pièces.