Le Centenaire

Le Satyre de la Villette. Du vent dans les branches de sassafras… Qui n’a jamais vu une pièce d’Obaldia ? Il s’agit ici d’un roman, des divagations d’un vieillard centenaire ou – comme dit l’auteur – «d’une vaste épopée de la mémoire». C’est toujours l’esprit totalement original d’Obaldia qui s’exprime. Le Centenaire est bourré d’humour, truffé de cocasseries délirantes, satirique en diable et virtuose jusqu’au défi.

Et le héros parla ainsi : «Passemaloufe ! Je m’exprime comme une vieille carpe. Mais les sourds entendront, les paralytiques danseront et les amnésiques se souviendront.»