Libres ou presque ! (suivi de Pour combien tu m’aimes)

LIBRES ! (OU PRESQUE… 2 hommes) : La dernière guerre mondiale bat son plein. Par un incroyable hasard de circonstance, Moshe, le Juif, et André, l’homosexuel, parviennent à s’échapper des bureaux de la Gestapo. L’étoile jaune et le triangle rose partent en vadrouille, menottés l’un à l’autre. Traqués par les Allemands, ils connaissent de multiples péripéties, de grosses frayeurs, des engueulades tonitruantes et quelques bons moments de rigolade et d’amitié pudique.
Ce road-movie haletant, malgré les situations dramatiques que traversent nos deux anti-héros, déclenche des salves de rires, rappelle quelques faits historiques souvent occultés. Une page de la « petite » histoire que la plus jeune génération devrait applaudir en riant franchement, pour ne plus jamais l’oublier.

POUR COMBIEN TU M’AIMES (3 hommes / 3 femmes) : Célibataire, femme d’affaires ambitieuse et totalement investie dans son travail, Lisa doit conclure un marché important avec un grand entrepreneur flanqué d’une femme acariâtre. Pour ne pas rebuter ce couple qu’elle croit très conformiste, il lui faut un compagnon. Elle a en l’habitude. Pour faire face à ce genre de situation elle loue un escort boy pour la soirée. Mais ce soir-là aucun escort n’est disponible. Elle se rabat sur un petit ouvrier qui ne connaît rien aux codes de vie de la grande bourgeoisie friquée. Quiproquos en cascades, bévues réjouissantes jalonnent cette comédie menée à cent à l’heure où chacun en prend pour son grade. Les auteurs n’ont ménagé personne et encore moins les zygomatiques des spectateurs ou des lecteurs.