Si les pauvres n’existaient pas, faudrait les inventer

Ils sont cinq, ou plus, qui endossent à tour de rôle le costume d'un individu à l'identité fluctuante (Antoine, Antonella, Anton, Antonio, Antoinette, Antonia) et l'accompagnent dans différent moments de sa vie. Cet individu est un de ceux qu'on appelle "un pauvre", pauvre du fait des hasards de la naissance, des accidents de vie, de parcours contraints - personne n'est à l'abri. Les comédien(nes) en viennent aussi à questionner leur propre rapport à la pauvreté. Comment continuer à vivre dans une société où le fossé entre les plus riches et les plus pauvres s'accroît . . .

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