Le triomphe de l'échec, suivi de : L'Ordalie

«Le Triomphe de l'échec» L'acteur joue la descente de Clara 69 au mitard de Fleury-Mérogis. A l'issue de cette répétition impossible où il se dit persécuté par des "esprits volants", des "larves" ou des "mercenaires du mal", Carla Sane, la reine des esprits, apparaît bel et bien dans le théâtre et c'est la majorité de l'équipe qui est possédée. Les possédés dévorent l'acteur, le metteur en scène, et le technicien plateau avant de les ressusciter dans une zone qui, sans être le paradis, est l'inverse de l'ENFER. «L'Ordalie» Difficile d'être plus intolérable que Dieu dans le crime. A moins de s'y engager comme Zaac Zaakar et son gang de musiciens en début de gloire. Jusqu'à l'overdose du criminel par le crime. Jusqu'au crime qui perd le criminel, jusqu'au crime qui tue son auteur. Le crime parfait à l'envers.