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10 monologues contemporains pour votre rentrée théâtrale

Envie de débuter votre rentrée en fanfare ? Découvrez notre sélection de monologues coups de cœur et trouvez quel personnage vous avez envie de défendre !

Depuis mon corps chaud, de Gwendoline Soublin

Deux monologues, deux voix, liées l’une à l’autre. Lui se meurt à l’hôpital, s’adresse en pensées à une femme et livre par fragments des souvenirs, des détails, des visions, de sa vie cabossée. Elle, une toute jeune fille de 19 ans est confrontée à son premier mourant. Elle l’accompagne, prend soin, observe. Comment côtoyer la mort, la peau des personnes âgées, les odeurs des corps souffrants ?

Les Possédés d’Illfurth, de Yan Verburgh

Hélios raconte l’histoire de son village d’Illfurth au sud de l’Alsace où d’étranges phénomènes secouent la modeste famille Burner. Joseph, 7 ans, et Thiébaut, 9 ans, sont soudainement atteints d’un mal mystérieux et spectaculaire. Les autorités religieuses s’accordent pour déclarer les deux enfants possédés par des esprits démoniaques.

Élise, d’Élise Noiraud

C’est quoi, devenir adulte ? Dans cette épopée auto-fictionnelle en trois “chapitres”, Élise Noiraud s’intéresse successivement à l’enfance, l’adolescence et l’âge adulte. Avec humour et sensibilité, elle retranscrit les espoirs et désillusions de ces différentes périodes de vie où chaque lecteur reconnaîtra sa propre histoire.

The great disaster, de Patrick Kermann

Vingt ans dans les montagnes, quinze ans à apprendre le français et l’allemand en cherchant travail et fortune, cinq jours à faire la vaisselle sur le Titanic, et l’éternité pour hanter les flancs du navire et raconter sans cesse la même histoire, son histoire… Ainsi peut se résumer la vie de Giovanni Pastore qui n’aurait jamais dû quitter sa Mamma.

Le 20 novembre, de Lars Norén

Le personnage unique du dernier texte de Norén se prépare à tuer le plus grand nombre d’élèves et de professeurs de l’école où il a « souffert ». Il sait bien qu’il n’y survivra pas. Il a dix-huit ans, a grandi dans un milieu non défavorisé. Il s’est entraîné à « faire la guerre » en jouant aux jeux vidéo…

Hedda, de Sigrid Carré-Lecoindre

Hedda est le prénom d’une femme puissante et déterminée qui cherche à survivre à une histoire d’amour toxique avec un homme qui ne supporte pas l’indépendance et la réussite professionnelle de sa compagne. Un rôle idéal pour travailler sur l’évolution toute en finesse et la descente aux enfers d’un personnage.

Mort le soleil, de Gwendoline Soublin

Le propos de Gwendoline Soublin nous conduit dans la tête d’un jeune homme presque majeur, qui a commis l’irréparable. Nous allons revisiter les circonstances de son passage à l’acte et l’impact de ses années d’emprisonnement. Qu’est-ce qui a contraint un adolescent à n’avoir d’autre issue que de tuer ?

Ceci est mon corps, d’Agathe Charnet

À la frontière de la pop culture, de l’autofiction et de la sociologie du genre, Ceci est mon corps est une enquête menée pour relater l’histoire du corps d’une femme née dans les années 1990. Parcourir les désirs, les violences, les joies et les aspérités qui le traversent. Découvrir aussi ce qui surgit, à l’orée de la trentaine, quand ce corps devient un corps lesbien.

Discours à la nation, d’Ascanio Célestini

Un énorme terrain de jeu pour les comédiens. Ascanio Celestini évoque la relation entre la classe dominante et la classe dominée, mais renverse ici son point de vue : cette fois, ce sont les puissants qui parlent. Des discours d’un cynisme suffoquant débarrassés de leur vernis de respectabilité, se parent d’un grotesque aussi comique qu’effrayant.

Des étoiles dans les branches, de Mario Batista

L’histoire du bagne en Guyane à travers trois personnages (2 hommes et 1 femme), trois destins touchants et hors du commun, qui nous embarquent dans l’aventure d’une vie, sur un territoire qui a bien plus à offrir qu’on ne le croit.

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